Sud-Kivu: Le CABL contre les messages de haine et division au sein de la population
Après la publication sur les reseaux sociaux et certains médias,des messages d’incitation à la haine,à la division auréolés des imputations dommageables à l’égard du président du sénat congolais,le professeur Modeste Bahati Lukwebo,le Club des Amis de Bahati Lukwebo (CABL) sort de son silence et met en garde les auteurs de ces messages dit «Jeunes Pétitionnaires» et promet une action en justice contre ces derniers.Cette structure l’a exprimée lors d’un point de presse tenue ce mercredi 29 décembre 2021 en ville de Bukavu
Pour le CABL,cette manière d’agir de ces jeunes pétitionnaires, constitue une infraction prévue et punie par les articles 74 et 76 du Code pénal congolais Livre II.
CABL souligne que soucieux de l’émergence de son entité par la présence et la fonction de son digne fils Modeste Bahati Lukwebo, président du sénat,ne laissera même pas une seconde à ces jeunes dits pétitionnaires qui pour eux seraient en perte de vitesse d’œuvrer que pour la destruction du Sud-Kivu et de ses institutions.Une arme utilisée contre le décollage de la province.
Cette structure,appelle les Sud-Kivutiens à la voie du dialogue comme prôné par certains notables pacificateurs de la province.
Occasion pour Matabaro Ciruza, Qesteur, communicateur national de CABL de rassurer que seule cette voie du dialogue s’avère la plus appropriée et efficace pour surmonter les défis actuels en province,car en effet le salut passe par une psychanalyse collective.
«Vous savez toujours que lorsqu’on est leader,on n’est pas leader de fonction ou on n’est pas leader de position,mais Modeste Bahati Lukwebo,c’est d’abord un leader charismatique c’est-à-dire un leader naturel.Par rapport à tous ce qui se lèvent contre lui,vous allez comprendre que c’est une haine car il a toujours prôné l’unité »
Notons que CABL lève sa voix pour dire Non à toute sorte de campagne d’intoxication et d’instrumentalisation tendant à déstabiliser les institutions provinciales au Sud-Kivu pour empêcher à la province d’émerger.
Par Erick Chokola