Sud-Kivu: Jean-Jacques Purusi lance le bitumage sur l’axe Place Mulamba – centre Amani de Muhumba
Le gouverneur du Sud-Kivu Jean-Jacques Purusi a procédé au lancement des travaux de bitumage de l’axe routier centre Amani de Muhumba jusqu’à la place Mulamba ce dimanche 21 juillet 2024. Ce projet est exécuté depuis deux ans par la société congolaise de construction (SOCOC).
“Notre combat n’est pas seulement d’engager des nouveaux projets mais d’abord regarder où l’argent de l’Etat a été injecté et ainsi faire le suivi et évaluation de ce projet.” a-t-il précisé.
Et d’ajouter que ces travaux doivent être faits dans le temps convenu, et que l’axe place Mulamba – centre Amani n’est pas le seul visé dans ce projet de réhabilitation des routes.
“Nous travaillons jour et nuit avec la SOCOC pour s’assurer que les travaux soient fait dans le temps par rapport à l’agenda selon le contrat qui a été signé entre la République et l’investisseur. Nous sommes sur tous les projets de la SOCOC c’est-à-dire la voirie urbaine notamment cette route de Muhumba, place de l’indépendance – lycée Wima et la bretelle communément appelée ‘Yesu-Yesu’ . Concernant cette bretelle, nous sommes en train de nous battre pour que cet axe soit finalisé avant le mois de décembre.”, a renchéri Jean-Jacques Purusi.
Le directeur général de la société congolaise de construction Jacques Amani Kasigondo, précise que ces travaux de bitumage de la route qui mène à au centre Amani vont durer 2 semaines sur ce tronçon de 3km sur une largeur de 7m avec l’épaisseur de 5cm.
“Nous sommes en train de déposer la dernière couche de roulement enrobé en béton sur 600m imprégnés que nous comptons finaliser aujourd’hui. Nous remercions les autorités plus particulièrement la première dame qui a plaidé pour la suite de ces travaux, le gouvernement provincial et le gouvernement central qui continuent à financer ces travaux mais aussi la population de Bukavu pour son soutien” a-t-il conclu.
ces travaux lancés en août 2022 devraient durer maximum 6 mois mais ils se sont butés à des difficultés financières.
Par Irène Mulindwa
